Jules Romain, Knock. Les clés de lecture bacs général et technologique pour une lecture cursive, un carnet ou un contrôle de lecture

Knock : « Ne confondons pas. Est-ce que ça vous chatouille, ou est-ce que ça vous gratouille ? »

Knock

Knock : « Les gens bien portants sont des malades qui s'ignorent ! »

 

 

Knock

 

Knock ou le Triomphe de la médecine est une pièce de théâtre de Jules Romains, représentée pour la première fois à Paris, à la Comédie des Champs-Élysées, le 14 décembre 1923, sous la direction de Jacques Hébertot, mise en scène et décors de Louis Jouvet, qui interprète également le rôle principal.

Comédie grinçante, Knock dénonce la manipulation, qu'il s'agisse de médecine ou de toute idéologie issu de l'image de l'autorité.

Jules Romain, petite biographie 

Jules Romains, né Louis Farigoule à Saint-Julien-Chapteuil (Haute-Loire) le 26 août 1885 et mort à Paris le 14 août 1972, est un écrivain, philosophe, poète et dramaturge français.

Il est connu pour son cycle romanesque Les Hommes de bonne volonté, publié entre 1932 et 1946, une œuvre monumentale de 27 tomes qui suit l'histoire de la France entre 1908 et 1933. Sa pièce de théâtre Knock ou le Triomphe de la médecine connaît un grand succès.

Il est élu à l'Académie française en 1946.

Les personnages 

  • Knock (le personnage principal)
  • Dr Parpalaid
  • Mme Parpalaid
  • M. (et Mme) Mousquet (pharmaciens)
  • M. Bernard (instituteur)
  • Le tambour de ville
  • Premier gars
  • Deuxième gars
  • Scipion
  • Jean (le voiturier)
  • Mme Rémy
  • La dame en noir
  • La dame en violet
  • La bonne
  • Mariette (la voix de l'auteur)
  • Adèle

 

Résumé 

Acte I 

Le Dr Parpalaid a vendu au Dr Knock « une clientèle nulle ». Acceptant le défi, Knock dresse à ses interlocuteurs (Parpalaid et son épouse) un tableau si invraisemblable de ses prétentions médicales que le Dr Parpalaid en arrive à se demander s'il est réellement médecin. Lorsque l'acte se termine on ne sait pas si Knock gagnera son pari, mais on a déjà assisté à la première étape de ce travail : estimer les revenus de ses futurs clients et repérer tout ce qui pourrait faire obstacle à l'idéologie qu'il a l'intention de promouvoir.

Acte II

On assiste à la démonstration des techniques du Dr Knock. Jules Romains décrit pratiquement toutes les techniques de manipulation enseignées pour la pratique clinique ou la vente. Il fait défiler tous les groupes sociaux du canton ou les supports que Knock utilise : l'information, avec le tambour de ville et l'instituteur, le commerce, la paysannerie, l'aristocratie de province. L'acte se termine avec deux hommes éméchés dont Knock prend le contrôle avec vigueur, rappelant que la force est toujours présente derrière l'idéologie.

Acte III

Le Dr Parpalaid, qui se moquait de Knock au premier acte, est maintenant témoin de son succès. Stupéfait, il est malmené par les « disciples » de Knock. Ce dernier a réussi à prendre le contrôle sur tout le canton, puisque ceux qui ne sont pas au lit travaillent pour lui. Il observe alors ses disciples agir pour lui. Lorsque Knock se retrouve seul avec son confrère docteur, il va se lancer dans un discours où il étale sa volonté de puissance, qui se rapproche de la folie. La dernière réplique montre que Knock ne rencontre plus aucune résistance, puisque même un médecin arrive à se croire malade et demande des soins au manipulateur.

Questionnaire

  • 1 - Quelle formation et étude Knock a t'il suivies? 

KnockKnock parait à l’acte I comme un homme de quarante ans qui vient de finir sa thèse de médecine. Il a appris les termes médicaux sur les notices des "boîtes de pilules" ce qui lui a permis, auparavant d'exercer la médecine sans avoir ni savoir, ni titre. C'est un homme opportuniste qui fait peu de cas des intérêts d'autrui et qui a confiance en lui, il s'adapte à toutes les situations en cherchant toujours à en tirer profit. C'est pourquoi, il devient médecin par hasard, par opportunité dans l'objectif de se faire un nom. Il se fait appeler ainsi "docteur". Mais il est tout autant commerçant, c'est ainsi qu'il a commencé sa carrière professionnelle dans la vente de cravates et des arachides. 

Knock met très vite de côté le caractère universitaire de sa formation (p. 22) pour insister sur son goût précoce de la pratique médicale : bachelier en lettres, il devient médecin sur un «vapeur» après avoir perdu un emploi de vendeur dans un grand magasin de Marseille. Ses connaissances médicales ne lui venaient pas d’études scientifiques, mais de sa « passion» pour les annonces médicales et pharma-ceutiques des journaux lorsqu’il était enfant. Il apprend ainsi le «style de la profession» et découvre la «véritable destination de la médecine» (p. 24). Il met alors au point sa théorie et sa méthode qu’il vérifie à bord du «vapeur», puis s’engage dans le commerce des arachides afin de pouvoir vivre avantde passer son doctorat en médecine.

Le parcours «médical» de Knock apparaît ainsi comme celui d’un aventurier, d’un commerçant, aux connaissances et à la pratique non orthodoxes

  • 2 - Selon Knock, quel doit-être le principal objectif d'un médecin? 
  • 3 - Selon le docteur Parpalaid, quel doit-être le principal objectif d'un médecin? 

La pratique de Parpalaid et la théorie de Knock sont absolument opposées. Parpalaid est un médecin de campagne qui ne soigne que ce qui lui semble devoir l’être et ne cherche pas à s’opposer au bon sens paysan tandis que pour Knock, comme le laisse entendre le titre de sa thèse, sur les prétendus états de santé, toute personne bien portante est un malade qui s’ignore. Selon lui, le médecin doit traquer la maladie et convaincre son « client » qu’il a besoin de ses services. C’est bien ce que confirme le récit qu’il fait de son passage sur le navire en tant que docteur : selon ses dires, tout le monde y était malade.

  • 4 - Que peut-on dire des habitants de Saint Maurice? 
  • Quels sont leurs principaux traits de caractère? 
  • Du point de vue social, de quoi chaque personnage est-il le représentant?

KnockLe tambour de ville est naïf et bavard ; l’instituteur est «très impressionnable» («le cœur chaviré», «tout frissonnant»); le pharmacien n’est pas insensible aux arguments financiers ; la dame en noir «respire l’avarice paysanne et la constipation» et estcrédule; la dame en violet, issue de la grande bourgeoisie, est vaniteuse et parle «avec emphase»; les deux gars ricanent bêtement. Chaque personnage est très dessiné: une silhouette, un langage, un mode de fonctionnement particulier. En ce sens, les personnages sont proches du type, car ils sont peu complexes et sont les représentants d’un certain «type» de comportement humain

Tous les villageois qui consultent pour des symptômes presque inexistants, une vague fatigue ou un chatouillement, sont ensuite longuement traités par Knock. Tous sont déclarés malades et deviennent des patients réguliers. Knock applique à Saint-Maurice son discours médical :

  • "«Tomber malade», vieille notion qui ne tient plus devant les données de la science actuelle. La santé n’est qu’un mot, qu’il n’y aurait aucun inconvénient à rayer de notre vocabulaire. Pour ma part, je ne connais que des gens plus ou moins atteints de maladies plus ou moins nombreuses à évolution plus ou moins rapide." (p. 80)

Du point de vue social, de quoi chaque personnage est-il le représentant?

La classe des petites gens est représentée par le tambour de ville et les deux gars, la paysannerie aisée par la dame en noir, la riche bourgeoisie par la dame en violet. L’instituteur est le représentant d’une certaine autorité intellectuelle et le pharmacien de la bourgeoisie aisée qui jouit elle aussi d’une certaine autorité intellectuelle

À quel personnage de la comédie classique le personnage du tambour de ville tel qu’il est caractérisé par Jules Romains fait-il penser? Justifiez votre réponse par des éléments précis.

Le personnage du tambour de ville rappelle les personnages de valets de la comédie classique: bon sens et crédulité, cupidité et déférence face à l’autorité, goût de la bonne chère, caractère craintif.

Comparez les façons de parler de la dame en noir et de la dame en violet. De quelle façon leur langage les caractérise-t-elles?

Les façons de parler de la dame en noir et de la dame en violet s’opposent : la paysanne parle peu (phrases courtes), emploie un vocabulaire et une syntaxe simples, des expressions et des tournures de phrases populaires et parfois incorrectes («Diable», «Dame», «C’estune désolation, Jésus Marie!», «J’ai bien eu du malheur de tomber de cette échelle!»); la dame en violet, au contraire, parle beaucoup en faisant des phrases longues et complexes et en utilisant un vocabulaire plutôt riche (voir sa première longue réplique page 63). Par l’attention portée à leur façon de parler, Jules Romains caractérise et dessine ces deux personnagesn: d’un côté, une paysanne austyle simple, de l’autre, une bourgeoise au style quelque peu ampoulé, dont le langage révèle la prétention.

  • 5 - Pourquoi à la fin certains personnages ne tombent-ils pas malades? 
  • la transformation de Saint-Maurice. 
  • la nouvelle ère médicale annoncée précédemment par Knock est en place

Les «nickels», «ripolins», «linges blancs» (didascalie initiale de l’acteIII) ont transformé l’hôtel en hôpital : un espace blanc, laqué, froid et aseptisé. Le changement de lumière qui débute au milieu de la scène 6 (p. 91) participe de cette transformation qui prend des aspects irréels : une lumière blanche, diffuse (proche de celle des néons), qui augmente encore l’éclat des blancs, apparaît et nous entraîne dans un univers futuriste inquiétant. La bonne est habillée en infirmière et l’on peut imaginer que Scipion est aussi en blanc. Les accessoires médicaux, comme les seringues et les thermomètres, sont de plus en plus présents jusqu’à devenir à la toute fin des «instruments rituels» (p. 101) maniés par Scipion, la bonne et Mme Rémy en une sorte de procession religieuse. L’acte III construit ainsi un espace de plus en plus étrange, symbolique, qui signale le changement radical que Knock est parvenu à opérer sur le réel.

À l’acte III, il a mis la majorité de la population au lit en préservant certains, bras indispensables à sa prise de pouvoir (la bonne, Scipion, Mme Rémy, le pharmacien, l’instituteur). Les règles d’hygiène qu’il présentait à l’instituteur sont maintenant en place et régentent l’organisation de la société, le pharmacien est toujours sollicité pour les analyses et les médications.

La société organisée par Knock fonctionne comme une entreprise (avec sa hiérarchie: lespetites mains que sont la bonne et Scipion, la gérante Mme Rémy). Les graphiques et les analyses que Knock propose à Parpalaid au début de la scène 6 signalent cet aspect commercial : création de quatre niveaux de traitements en fonction des revenus des patients (p. 89), présentation des zones «non pénétrées» (p. 90). L’offensive menée par Knock est proche d’une opération commerciale

  • 6 - Analysez le comique dans cette pièce

Tous les personnages ont une caractérisation qui relève du genre de la farce: chaque personnage est un type construit selon un nombre réduit de traits de caractère et de déterminations sociales. On retrouve ainsi par exemple différents représentants du valet de comédie (le tambour de ville, la bonne, Scipion, mais aussi dans une certaine mesure Mme Rémy). De même un grand nombre de situations relèvent du genre farcesque : l’entassement dans la voiture et la panne dissimulée au premier acte, les consultations fantaisistes de l’acte II (avec notamment la dernière scène, celle des deux gars), l’arrivée de Parpalaid au dernier acte qu’on ne reconnaît pas ou que l’on tente d’évincer. Cependant, le dernier acte emprunte beaucoup moins de situations au genre de la farce. Ainsi la dernière scène dans laquelle Parpalaid est comme hypnotisé par son remplaçant pourrait bien relever de la farce, mais elle est aussi inquiétante et inscrite dans un contexte qui lui donne un sens symbolique qui la démarque du genre farcesque.

  • 1 - Une vraie comédie:
  • →Le canular, la farce, les gags.
  • →Lesdifférentes formes de comique : gestes(pantomime), mots (langage familier ou insensé), caractère (des personnages naïfs et caricaturaux)...

Knock

Bilan de l’étude de KNOCK:

Cette pièce est une argumentation par l’ironie : Jules Romains se moque de la crédulité humaine pour mieux la dénoncer. Son ironie s’attaque aussi à la puissance des médecins et des spécialistes en général qui nous abusent avec leur jargon technique et obscur. De même , il incite à se méfier des beauxpar leurs, des tribuns, des rhéteurs des publicistes et autres propagandistes prompts à nous embobiner.

Il dénonce enfin la mégalomanie qui guette souvent les hommes de pouvoir. La satire est à la fois comique (elle fait rire) et sérieuse (elle pointe les tares de notre époque) ; ce qui incite le lecteur ou le spectateur à penser par lui-même, c’est-à-dire à renouer avec le salutaire démon socratique

  • 2 - Une tragédie moderne :
  • → Un mégalomane impitoyable.
  • → Un dénouement terrifiant : la mort de l’esprit critique.
  • 3. Une pièce à double face:
  • →Une argumentation par l’ironien(cf Voltaire)
  • →Une satire efficace : hilarante et terrifiante

 

  • Pourquoi peut-on dire que la pièce de Jules Romains a une portée satirique? Quelles sont lescibles visées par la satire?

Knockpropose une satire de la médecine: Jules Romains dénonce le pouvoir injustifié que le médecin peut se donner. Plus largement, il vise ainsi les dérives de tout débordement théorique qui s’appuie sur la science pour imposer son pouvoir et son ordre. À cette portée satirique globale s’ajoutent des effets satiriques plus circonscrits, comme notamment la satire de la vie sociale dans un petit village de province, la satire de certaines catégories sociales (la prétention de la bourgeoisie, l’avarice de la paysannerie...)

  • En quoi la pièce dépasse-t-elle le cadre du simple divertissement? Qu’a-t-elle d’inquiétant?

C’estau dernier acte que Knock apparaît véritablement comme un être inquiétant: sa façon de manipuler la population nous fait rire à l’acte II avant d’apparaître à l’acte III dans toute son ampleur et sa violence, puisque toute la ville est désormais subordonnée au nouvel ordre imposé par Knock. La dernière image sur laquelle se clôt la pièce est particulièrement éloquente de ce point de vue.

  • Contre quels dangers la pièce nous met-elle en garde?

La pièce nous met en garde contre lesidéologies qui transforment les individus en masse manipulable à souhait.

  • Quelle réflexion la pièce semble-t-elle proposer sur la notion de communauté? Observezla place qu’y occupent les individus.

Au début de la pièce, le village est présenté comme n’ayant aucune unité véritable (ni foi religieuse, ni convictions politiques, ni vie sociale développée). À l’acte III, le village est devenu une entité indivisible, soudée autour de l’idéal médical proposé par Knock. Ce qui est étonnant, c’est de voir comment chaque individu est nié parce qu’il est englobé dans une unanimité idéologique et sociale qui lui enlève toute existence propre, et comment, dans le même temps, cette organisation s’est constituée à partir de chaque individu traité différemment et convaincu de façon particulière par l’idéologie. Cette société crée par ailleurs une nouvelle hiérarchie: ceux qui profitent de l’organisation mise en place et ceux qui constituent la masse silencieuse. La réflexion qui affleure dans la pièce peut ainsi être rapprochée des réflexions historiques et politiques concernant la mise en place des systèmes totalitaires

 

Knock

Pour aller plus loin 

 

  • 1 - Quels sont les liens qui unissent Knock à M. et Mme Parpalaid?
  • Knock vient remplacer le docteur Parpalaid.
  • 2 - Quel est le but poursuivi par le docteur Parpalaid et sa femme?
  • Convaincre Knock qu’il a fait le bon choix en décidant de venir s’installer à Saint-Maurice et qu’il fait une affaire.
  • 3 - Que comprend Knock au fur et à mesure de la conversation?
  • Le docteur lui revend une affaire très peu lucrative.
  • 4 - Pourquoi la voiture s’arrête-t-elle au milieu de la route?
  • La voiture est en panne.
  • 5 - Que nous apprend le récit que fait Knock de sa formation médicale?
  • Il n’est pas un médecin comme les autres.
  • 6 - Comment décrire le caractère du docteur Parpalaid?
  • Cordial et un peu roublard.
  • 7 - Quels sentiments les propos de Knock suscitent-ils chez Mme Parpalaid?
  • La curiosité et la fascination.
  • 8 - Comment qualifierait-on le mieux la ville de Saint-Maurice?
  • Une petite ville de province assez semblable aux autres petites villes de ces années-là

 

  • 1 - À quoi assiste-t-on dans cet acte II?
  • À la mise en place par Knock d’une vaste opération de propagande et de publicité.
  • 2 -  Pour convaincre les habitants de Saint-Maurice qu’ils ont besoin de lui, quels sentiments Knock cherche-t-il à provoquer?
  • Le respect et la crainte.
  • 3 - Pourquoi est-il important pour Knock d’être soutenu par l’instituteur et le pharmacien?
  • Ils peuvent avoir une influence déterminante sur les habitants.
  • 4 - De quoi souffre le tambour de ville?
  • D’une maladie imaginaire.
  • 5 -  Qu’est-ce qui caractérise la dame en noir?
  • Son avarice.
  • 6 - À quelle classe sociale appartient la dame en violet?
  • À la bourgeoisie aisée.
  • 7 - Que viennent faire les deux gars du village chez Knock?
  • Se moquer de lui.
  • 8 - Que se passe-t-il à l’extérieur du bureau de Knock au fur et à mesure des consultations?
  • La foule de plus en plus nombreuse est comme envoûtée.
  • 9 - En quoi consistent les consultations de Knock?
  • En de rapides examens dans lesquels il se sert du diagnostic pour manipuler les patients

 

  • 1 - Quels sont les deux personnages déjà croisés dans les actes précédents que l’on retrouve danscet acte III?
  • M. Parpalaid et le pharmacien Mousquet.
  • 2 - Qui est Mme Rémy?
  • La patronne de l’hôtel de Saint-Maurice.
  • 3 - Pourquoi M. Parpalaid revient-il à Saint-Maurice?
  • Il vient percevoir la première échéance que lui doit Knock.
  • 4 - Où se passe le troisième acte?
  • Dans l’Hôtel de la Clef transformé petit à petit en centre médical.
  • 5 - Que signifie le changement progressif de lumière indiqué dans les didascalies?
  • L’espace ainsi transformé symbolise l’avènement de l’ère médicale.
  • 6 -  Que nous apprend le discours que tient Mme Rémy à M. Parpalaid au début de l’acte?
  • Knock a réussi son opération de conversion des esprits à l’âge médical.
  • 7 - Quelle image de Knock se dégage dudiscours qu’il tient à M. Parpalaid?
  • L’image d’un illuminé avide de pouvoir.
  • 8 -  Quelle est la réaction de Parpalaid face à ces changements?
  • Il tente de proposer un marché à Knock pour profiter à son tour de l’essor économique de la médecine à Saint-Maurice.
  • 9 - Comment qualifieriez-vous le dénouement inscrit dans ce dernier acte?
  • Un dénouement inquiétant

Knock

Séquence théâtre en entretien. La lecture cursive et les questions de l'examinateur bacs général et technologique

Date de dernière mise à jour : 16/03/2024

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