L’enseignement de spécialité d’humanités, littérature et philosophie - La recherche de soi, programme HLP, classe de terminale

Terminale semestre 1 La recherche de soi Période de référence:Du romantisme au XXe siècle Éducation transmission et émancipation- Expressions de la sensibilité-métamorphoses du moi

Romantisme

Recherche de soi 

HLP Terminale

 

L'humanité en question

HLP Terminale

Humanités, littérature et philosophie - Objectifs, structure, notation. Epreuve écrite, durée 2 heures.

Humanités, littérature et philosophie
Épreuve écrite.
Durée : 2 heures

Objectifs  : L’épreuve vise à évaluer la maîtrise par le candidat des attendus du programme de l’enseignement de spécialité « Humanités, littérature et philosophie » pour la classe de première, défini dans l’arrêté du 17 janvier 2019 paru au BOEN spécial n° 1 du 22 janvier 2019.
Structure  : L’épreuve est composée de deux questions portant sur un texte relatif à l’un des thèmes du programme de première. L’une des questions, intitulée « question d’interprétation », appelle un travail portant sur la compréhension et l’analyse d’un enjeu majeur du texte. L’autre, appelée « question de réflexion à partir du texte », conduit le candidat à rédiger une réponse étayée à une question soulevée par le texte. Chacun de ces deux exercices relève tantôt d’une approche philosophique, tantôt d’une approche littéraire, selon ce qu’indique explicitement l’intitulé du sujet. Leur articulation répond au principe de coopération interdisciplinaire propre à cet enseignement de spécialité. L’ensemble des connaissances acquises est mobilisable à bon escient dans les deux parties de l’examen. Les deux questions donnent lieu à des développements d’ampleur comparable et font l’objet de corrections distinctes, l’une par un correcteur de français, l’autre par un correcteur de philosophie, selon l’orientation disciplinaire respective des exercices.
Notation : Chaque question est notée sur 10. La somme des deux notes constitue la note globale unique de l’épreuve.

Programme de terminale, la recherche de soi, terminale, semestre 1

Le premier semestre de la classe terminale est consacré à la problématique de la recherche et de la formation de soi – problématique à tous égards centrale dans la culture, dans la littérature et la philosophie modernes.

La période de référence – du romantisme au XXe siècle – a été dans toute l’Europe celle de grandes mutations sociales et politiques, mais aussi intellectuelles et esthétiques, qui ont entraîné de profondes transformations dans la manière de concevoir les rapports entre l’individu et la société, les modèles d’éducation et les formes de la liberté.

L’étude de « la recherche de soi » se décline en trois chapitres, le premier consacré à l’éducation et aux idéaux d’émancipation, le deuxième aux nouvelles manières de sentir et à leur exploration, le troisième aux aspirations et aux inquiétudes de l’âme moderne et au problème de la connaissance de soi.

Des références peuvent être choisies avec profit parmi les œuvres des périodes antérieures, notamment l’Antiquité et l’Âge classique.

Éducation, transmission, émancipation

L’époque des Lumières a marqué une double rupture avec les modèles d’éducation hérités de l’humanisme de la Renaissance. Pour un grand nombre d’auteurs, l’apprentissage des choses doit désormais primer la culture des mots, et l’éducation se centrer sur l’utile (pratique et social). Une nouvelle attention est portée aux manières de penser des enfants et au langage à tenir avec eux. Sur ces questions, les idées pédagogiques de Rousseau (Émile ou de l’éducation, 1762) ont essaimé jusqu’au milieu du XXe siècle avec les mouvements dits d’éducation nouvelle.

Dans le même temps, l’idée s’impose qu’une nation moderne doit se préoccuper de la formation des individus et par conséquent se doter d’un véritable système d’éducation publique. Dans la lignée de Condorcet, l’instruction des enfants des deux sexes devient la clé de la démocratie et des libertés. Les penseurs révolutionnaires mettent quant à eux l’accent sur les conditions sociales et politiques de l’émancipation des individus. En Europe comme en Amérique, le tournant du XXe siècle est le moment d’un vaste débat sur les finalités de l’éducation scolaire, ses méthodes et son extension.

Le rôle nouveau de l’institution scolaire se marque par la place que prennent dans les récits du XIXe siècle les souvenirs d’écoliers, qu’ils soient romancés ou autobiographiques. Il s’agit toujours de comprendre ce qu’un individu est devenu à partir de ce qu’il a reçu, mais aussi de ce avec quoi il a rompu.

Les textes de cette période fournissent matière à réflexion, par exemple, sur les différents âges de la vie et ce que veut dire être adulte ; les formes de l’enseignement et celles de l’apprentissage ; les parts respectives de la famille, de l’école et de la société dans l’éducation ; l’aspiration à la liberté dans ses rapports avec les institutions et les traditions. À l’horizon de ces interrogations se trouvent la définition d’une éducation moderne et la question de la justice sociale et de l’équité au sein d’un système éducatif.

Les expressions de la sensibilité

La revendication des droits de la sensibilité s’est progressivement affirmée au XVIIIe siècle. Diderot, Rousseau, Goethe introduisent dans leurs œuvres un nouveau langage, au plus près de la variation et de la complexité des sentiments. À ce titre, ils ont ouvert la voie aux romantismes européens, attentifs à tous les mouvements de l’âme, à sa communication avec la nature et aux forces qui trament la destinée des individus.

La restitution, sur divers modes (direct ou indirect, analytique ou symbolique…), des perceptions dans ce qu’elles ont de subjectif, des passions dans leur développement, des pensées telles qu’elles surviennent, constitue l’un des grands objets de la littérature et des arts dans la période de référence. Ce souci a croisé les courants « réaliste » ou « naturaliste » et le nouveau regard porté sur des sociétés transformées par la révolution industrielle.

Dans le même temps, la philosophie et la psychologie ont exploré les données premières de la conscience, l’expérience subjective du corps, les relations de la sensibilité et de l’intelligence, les pathologies de l’esprit et des sens, et jusqu’à la possibilité de décrire le flux du vécu. L’attention s’est portée sur la formation des sentiments moraux ainsi que sur les formes et objets de l’émotion esthétique en lien avec les différents arts. De là notamment une nouvelle sacralisation de l’art et de la personnalité créatrice, et la recherche de nouvelles relations entre art et spiritualité.

Comment décrire le monde ou la vie selon l’expérience qu’un individu en fait ? Comment exprimer la manière intime dont un événement affecte un sujet ? Comment caractériser la vie intérieure d’un personnage de fiction et dépeindre sa sensibilité ? Ces questions sont aussi celles des rapports entre l’expérience privée et le langage commun : lorsque nous communiquons les uns avec les autres, comment faisons-nous pour donner le même sens aux mots que nous employons ?

Les métamorphoses du moi

Que désigne-t-on précisément par ce mot, « moi » ? Ce qu’on appelle communément le moi a-t-il une réalité nette et stable ? Comment caractériser son unité et son identité ? Qui le connaît le mieux, et comment le décrire ? Quelle part accorder, dans sa définition, à la société et au regard des autres ? Toutes mes actions et toutes mes pensées émanent-elles de « moi » au même degré ? Ces questions sont anciennes ; certaines d’entre elles remontent à l’Antiquité (cf. les Confessions de saint Augustin : « Je suis devenu pour moimême une énigme »). Pour le sujet moderne, contraint de chercher sa place dans une société élargie, transformée et traversée de multiples tensions, de telles questions n’ont pu que gagner en acuité.

Prétention à un contrôle absolu ou abandon à l’impulsion immédiate, ivresse créatrice ou expériences de la dépersonnalisation, enthousiasme révolutionnaire ou souci exclusif de l’intérêt privé, recherche des émotions les plus raffinées ou paroxysme du conflit intérieur, passion du lointain ou mystique de l’enracinement, ferveur religieuse ou exaltation de l’extrême liberté : toutes ces figures de la subjectivité et d’autres encore coexistent dans la culture du « long XIXe siècle » (1789-1914).

Avant même les immenses traumatismes des deux guerres mondiales, nombreux sont les écrivains, artistes et penseurs à mettre en scène, figurer et souligner dans des formes nouvelles les déchirements internes à l’individualité moderne. C’est ainsi notamment que la diffusion des théories et des pratiques psychanalytiques a profondément marqué la culture du XXe siècle. À quelle connaissance de nous-mêmes sommes-nous capables d’accéder ? Cette interrogation est encore la nôtre.

Bibliographie indicative

Comme indiqué dans le préambule, les listes ci-dessous fournissent des suggestions et n’ont aucun caractère prescriptif. Elles donnent un exemple de l’éventail des textes susceptibles d’être étudiés au titre des différents thèmes inscrits au programme de la classe terminale et de leurs périodes de référence. Ces listes comprennent des ouvrages couramment sollicités en classe, mais aussi des titres plus rares, qui figurent ou devraient figurer dans des anthologies accessibles.

NB : dans le cas d’une publication posthume tardive, les ouvrages figurent dans la liste à la date de leur rédaction, mentionnée entre crochets.

 

La recherche de soi

 

1) Éducation, transmission, émancipation

Rousseau, Émile ou De l’éducation (1762). Kant, Qu’est-ce que les Lumières ? (1784). Condorcet, Mémoires sur l’instruction publique (1791) ; Esquisse d’un tableau historique des progrès de l’esprit humain (1795). Kant, Réflexions sur l’éducation (1803). Hegel, Textes pédagogiques ([1809-1823]). Stendhal, Le Rouge et le Noir (1830). Balzac, Louis Lambert (1832). Tocqueville, De la démocratie en Amérique (1835-1840). Sand, Consuelo (1842). Chateaubriand, Mémoires d’outre-tombe (1849), livres I à V. Tolstoï, EnfanceAdolescenceJeunesse (1852-1857). Proudhon, De la justice dans la Révolution et dans l’Église (1858), 5e étude (De l’éducation). Nietzsche, Sur l’avenir de nos établissements d’enseignement (1872). Vallès, L’Enfant (1878). Renan, Souvenirs d’enfance et de jeunesse (1883), chap. 3. J. Ferry, Lettre aux instituteurs (1883). Nietzsche, Ainsi parlait Zarathoustra [extraits] (1883-1885). Vallès, L’Insurgé (1886). Bourget, Le Disciple (1889). Bergson, Le Bon Sens et les études classiques (1895). Gide, Les Nourritures terrestres (1897). Dewey, Mon Credo pédagogique (1897). Colette, Claudine à l’école (1900). Dewey, L’Éducation au point de vue social (1913). Péguy, L’Argent (1913). Durkheim, L’Éducation morale ([1903] 1925). Alain, Propos sur l’éducation (1932). Guilloux, Le Sang noir (1935). Durkheim, L’Évolution pédagogique en France (publ. 1938). Beauvoir, Le Deuxième sexe (1949). Arendt, La Crise de la culture (1961). Freinet, Œuvres pédagogiques [extraits] (1994).

 

2) Les expressions de la sensibilité

Rousseau, La Nouvelle Héloïse (1761). Kant, Observations sur le sentiment du beau et du sublime (1764). Goethe, Les Souffrances du jeune Werther (1774). Rousseau, Les Rêveries du promeneur solitaire (1782). Goethe, Les Années d’apprentissage de Wilhelm Meister (1795). Schiller, Lettres sur l’éducation esthétique de l’homme (1795). Chateaubriand, René (1802). Madame de Staël, Corinne ou l’Italie (1807). Hegel, Cours d’esthétique [extraits] ([1818-1829]). Schopenhauer, Le Monde comme volonté et comme représentation [extraits] (1819-1859). Austen, Raison et sentiments (1811). Constant, Adolphe (1816). Lamartine, Méditations poétiques (1820). Hugo, Les Chants du crépuscule (1835). Emerson, La Nature (1836). Musset, Confession d’un enfant du siècle (1836). Balzac, Le Lys dans la vallée (1836). Stendhal, La Chartreuse de Parme (1839). Ravaisson, De l’habitude (1838). Emerson, La Confiance en soi (1841). Ruskin, Les Pierres de Venise (1853). Kierkegaard, Le Journal du séducteur (1843). Nerval, Sylvie (1853) ; Les Chimères (1854). Thoreau, Walden ou la vie dans les bois (1854). Hugo, Les Contemplations (1856). Fromentin, Dominique (1863). Baudelaire, Le Spleen de Paris (1869) ; Le Peintre de la vie moderne (1863-1869). Flaubert, L’Éducation sentimentale (1869). Taine, De l’intelligence (1870). Nietzsche, La Naissance de la tragédie (1871). Fromentin, Les Maîtres d’autrefois (1876). Taine, Philosophie de l'art (1881). Maupassant, Une vie (1883). Huysmans, À Rebours (1884). Bergson, Essai sur les données immédiates de la conscience (1889). W. James, Précis de psychologie (1892). W. James, Les Formes multiples de l’expérience religieuse (1902). Husserl, L’Idée de la phénoménologie (1907). Kandinsky, Du spirituel dans l’art et dans la peinture en particulier (1911). Scheler, Nature et formes de la sympathie (1913). Scheler, L’Homme du ressentiment (1919). Bergson, L’Énergie spirituelle (1919). Proust, « Sur le style de Flaubert » (1920) ; À la recherche du temps perdu (1927). Woolf, Les Vagues (1931). Focillon, Vie des formes (1934). Sartre, La Nausée (1938). Camus, Noces (1938). Bachelard, Psychanalyse du feu (1938). Benjamin, Baudelaire [1940]. Wittgenstein, Recherches philosophiques (1953) ; Le Cahier bleu (1958).

Des extraits des journaux de Maine de Biran (1827), Joubert (1838) Berlioz (1870), Amiel (1882).

 

3) Les métamorphoses du moi

Rousseau, Confessions (1782) ; Les Rêveries du promeneur solitaire (1782). Hegel, Phénoménologie de l’esprit (1807). Musset, Lorenzaccio (1834). Stendhal, Souvenirs d’égotisme [1832] ; Vie de Henry Brulard [1836]. Musset, Les Nuits (1837). Stirner, L’Unique et sa propriété (1844). Charlotte Brontë, Jane Eyre, (1847). Chateaubriand, Mémoires d’outre-tombe (1849) [« Récapitulation de ma vie »]. Schopenhauer, Le Monde comme volonté et comme représentation (1819-1859) [extraits]. Dostoïevski, Les Carnets du sous sol (1864). Baudelaire, Fusées ([1855-1862] 1897) ; Mon cœur mis à nu ([1863-1867] 1887). Dickinson, Lettres et poèmes (publ. 1955). Rimbaud, Lettres du voyant (1871). Barbey d’Aurevilly, Les Diaboliques (1874). Nietzsche, Le Gai savoir (1882). Maupassant, Le Horla (1887). Stevenson, L’Étrange cas du docteur Jekyll et de Mr Hyde (1886). Nietzsche, Par-delà le bien et le mal (1885). Bergson, Essai sur les données immédiates de la conscience (1889). Ribot, La Psychologie des sentiments (1896). Thérèse de Lisieux, Histoire d’une âme (1898). Gide, L’Immoraliste (1902). Bergson L’Énergie spirituelle (1919). Proust, Le Côté de Guermantes (1920). Zweig, La Peur (1920). Pirandello, Six personnages en quête d’auteur (1921). Freud, Essais de psychanalyse (1915-1923). Svevo, La conscience de Zeno (1923). T. Mann, La Montagne magique (1924). Kafka, Le Procès (1925). Pirandello, Un, personne et cent mille (1926). Kafka, Amerika (1927). Freud, Malaise dans la civilisation (1929). Sartre, La transcendance de l’ego (1938). Leiris, L’Âge d’homme (1939). Sartre, L’Être et le Néant (1943) [La mauvaise foi] ; Huis clos (1944). Pessoa, Le Livre de l’intranquillité (1982).

PRÉSENTATION DES ATTENTES ET DES ENJEUX DE LA SPÉ HLP

Chaque grand thème est abordé à partir d'entrées (problématiques) différentes et doit faire l'objet d'une approche croisée, à la fois littéraire et philosophique.

Le cadre de référence historique permet aux élèves d'acquérir une culture littéraire et philosophique de manière chronologique, mais il est souhaitable de mettre en relation les extraits travaillés avec d'autres textes ou documents d'époques ultérieures qu'on peut considérer comme des textes « écho ».

Par exemple, on peut aborder la question de l'art de l'éloquence (premier thème de première : l'art de la parole) à partir du Gorgias de Platon (ou d'un extrait) et mettre ce texte en relation avec un grand discours politique de la période contemporaine. 

On peut résumer les attentes et les exigences propres à cet enseignement à deux points essentiels : 

  • D'une part, acquérir des compétences de lecture, de compréhension et d' interprétation de textes à caractère littéraire et/ou philosophique.
  • D'autre part, développer des compétences écrites et orales en matière d'argumentation.

 

POUR QUELS ÉLÈVES 

Cet enseignement est un enseignement de type généraliste ; il s'adresse à tous les élèves, dans la mesure où la culture générale, la capacité de conduire un raisonnement, de formuler des problèmes complexes et d'argumenter sa pensée à l'écrit comme à l'oral, constituent aujourd'hui des compétences majeures et valorisées dans tous les domaines, quel que soit le parcours d'étude choisi et/ou la profession envisagée. 

Il s'adresse plus particulièrement à des élèves curieux, aimant se poser des questions, réfléchir, lire et fréquenter les textes, souhaitant consolider une culture humaniste, affiner leurs capacités d'analyse et d'argumentation à l'écrit et à l'oral, soucieux de réfléchir sur les grands enjeux du monde contemporain, et enfin, désireux de consolider leurs capacités à écouter, à comprendre, à s'exprimer, à convaincre. 

La spécialité HLP pose la question du pourquoi plus que du comment... 

 

POUR QUELLES ÉTUDES ? 

Dans l'esprit du projet éducatif qui accompagnait l'enseignement des humanités autrefois, cette spécialité vise une formation intellectuelle solide, une formation humaine et donc éthique, par la lecture de textes exigeants et par la pratique régulière d'exercices, en particulier à l'oral, favorisant l'expression et la défense d'idées, et l'acquisition des techniques d'argumentation. 

Cet enseignement prendra donc un relief particulier pour des études axées sur :

  • les lettres et la philosophie,
  • les sciences humaines en général,
  • les arts,
  • le droit,
  • les sciences politiques,
  • l'économie,
  • la gestion,
  • la communication
  • mais aussi les études médicales et para-médicales. 

De manière plus concrète, de nombreux parcours post-bac seront facilités par cet enseignement : 

  • des parcours universitaires 

sciences humaines, lettres, philosophie, histoire, sciences politiques,  sciences de l'éducation, droit, histoire de l'art, LEA, langues, information et communication, etc...

  • ainsi que toutes les classes préparatoires littéraires et commerciales,
  • les Instituts d'Etudes Politiques, les écoles de journalisme,
  • toutes les carrières juridiques,
  • les BTS des métiers de la communication, de l'édition ;
  • les métiers de l'audiovisuel et du numérique,
  • les carrières médico-sociales, des ressources humaines ;
  • les écoles d'architecture, d'art et d'art appliqués, etc...

Ainsi, cette spécialité ne conduit pas seulement à enseigner les lettres ou la philosophie (ou à faire de la recherche en sciences humaines) comme on pourrait le penser à première vue ; c'est un enseignement généraliste et d'excellence qui peut conduire à préparer des métiers aussi diversifiés et pluriels que chargé de communication, journaliste, traducteur, chef de projet multimédia, archiviste, commissaire-priseur, orthophoniste, responsable en ressources humaines, juriste, juge, avocat, assistante sociale, comédien, éditeur, enseignant, psychologue, éducateur, etc....

 

 
 

Date de dernière mise à jour : 02/08/2023

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